LE GUIDE DES 7 ERREURS À ÉVITER DANS LE CHOIX D'UN TAPIS DE YOGA

Vous hésitez dans le choix de votre tapis de yoga, ou vous l’utilisez déjà sans en tirer tous les bienfaits ?

Découvrez les 7 erreurs les plus courantes que font les pratiquants, du débutant au yogi confirmé.

Un guide essentiel pour améliorer votre pratique… et prolonger la vie de votre tapis de yoga.

Écrit par TINA - Juillet 2025

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CE QUE VOUS VOUS APPRÊTEZ À DÉCOUVRIR

Choisir un tapis de yoga uniquement pour le look (sans tenir compte des caractéristiques techniques)
Négliger l’épaisseur et le confort du tapis de yoga (dos ou articulations mal protégés)
Ignorer les matériaux utilisés pour la fabrication du tapis de yoga (plastiques bas de gamme, pollution, allergènes)
Ne pas entretenir son tapis de yoga régulièrement (bactéries, odeurs, usure prématurée)
Utiliser un tapis de yoga non adapté à son style de yoga (Power Yoga ≠ Yin Yoga)
Le ranger ou le plier de la mauvaise manière (déformation, traces, décollement)
Sous-estimer l’impact écologique du tapis de yoga (matériaux non durables, production polluante)

" Let's take a look " !

CHOISIR UN TAPIS DE YOGA UNIQUEMENT POUR LE LOOK

C’est tentant : on tombe sur un tapis au motif sublime sur Instagram, avec une ambiance zen et des couleurs qui matchent parfaitement notre gourde ou notre legging. Résultat ? On l’ajoute au panier… sans se poser la moindre question sur ses caractéristiques techniques. Et pourtant, choisir son tapis uniquement pour son design est l’une des erreurs les plus fréquentes — et les plus frustrantes !

Exemple n°1 : Clara débute le yoga et craque pour un tapis au visuel fleuri repéré dans une boutique lifestyle. Léger, fin, et joliment roulé dans son filet en macramé… Sauf qu’au premier cours de Hatha, elle sent ses genoux râper le sol. Trop fin. Trop rigide. Et impossible de se concentrer sur la posture.

Exemple n°2 : Mathieu, lui, pratique le yoga dynamique. Il choisit un tapis noir et doré, visuellement très “studio”. Mais à chaque transition entre le chien tête en bas et la planche, ses mains glissent légèrement. À la 4e glissade, il perd confiance… et finit par remettre ses baskets sur un tapis de fitness plus stable.

Exemple n°3 : Sarah voulait un tapis Instagrammable pour ses vidéos de morning routine. Elle l’a choisi en microfibre ultra doux… mais sans grip. À la moindre humidité, la surface devient glissante, et elle ne peut plus faire de guerrier II sans ajuster ses pieds.

Le bon réflexe ? Commencer par se poser les bonnes questions :

– Est-ce que je transpire beaucoup ?

– Est-ce que je cherche de l’amorti pour mes articulations ?

– Est-ce que je veux pratiquer pieds nus ou en baskets ?

– Est-ce que je vais le transporter souvent ?

Une fois vos besoins identifiés, vous pourrez choisir un tapis qui vous plaît visuellement ET vous soutient techniquement. Il existe aujourd’hui des tapis de yoga à la fois esthétiques, durables et hyper performants.

Chez Yogaterrae, tous nos tapis de yoga sont pensés avec cette double exigence : fonction et émotion. Pour que chaque pratique soit un plaisir, sans compromis entre beauté et efficacité.

NÉGLIGER L'ÉPAISSEUR DU TAPIS DE YOGA ET SON CONFORT RELATIF

Si vous avez déjà eu mal aux genoux pendant une posture prolongée ou ressenti chaque aspérité du sol dans Savasana… c’est sans doute que votre tapis n’était pas adapté en épaisseur. L’épaisseur d’un tapis de yoga n’est pas un détail : c’est un critère de confort essentiel, qui varie selon votre pratique, votre morphologie, votre sol… et votre sensibilité !

Exemple n°1 : Camille pratique le Yin Yoga dans son salon carrelé. Elle choisit un tapis design de 3 mm, recommandé pour le Vinyasa. Résultat ? Après 5 minutes dans la posture du cygne, ses hanches la supplient de changer de position. Trop dur, pas assez de soutien pour rester immobile en profondeur

Exemple n°2 : Alex, adepte d’Ashtanga Yoga, investit dans un tapis très moelleux de 8 mm “spécial confort”. Mais dès les premières postures d’équilibre, il sent que ses appuis sont instables. Il vacille dans le guerrier III et n’arrive pas à tenir l’arbre. L’épaisseur excessive nuit à sa stabilité.

Exemple n°3 : Léa débute le yoga et pense qu’un tapis fin est toujours plus “pro”. Mais elle ressent des douleurs dans les poignets à chaque chien tête en bas. En réalité, elle aurait eu besoin d’un tapis de 5 mm pour amortir les pressions tout en gardant une bonne connexion au sol.

Il n’y a pas d’épaisseur idéale universelle. Tout dépend de :

– votre style de yoga (doux ou dynamique),

– votre support au sol (carrelage, parquet, studio, nature),

– votre besoin en confort articulaire (genoux, poignets, hanches…),

– votre fréquence de pratique et de transport (léger ou stable ?).

En général :

  • 1 à 2 mm : pour les tapis de voyage (yoga en plein air ou à emporter partout),
  • 3 à 4 mm : pour une pratique fluide et dynamique type Vinyasa, Power Yoga,
  • 5 à 6 mm : parfait équilibre entre confort et stabilité (très populaire)
  • 7 mm et + : idéal pour les yogas doux, la méditation, le Yin Yoga ou les articulations sensibles.

Chez Yogaterrae, chaque tapis de yoga est pensé pour offrir un confort ciblé selon la pratique, sans compromis sur la qualité. Parce que votre tapis est le support vivant de vos séances, été comme hiver.

IGNORER LES MATÉRIAUX UTILISÉS POUR LA FABRICATION D'UN TAPIS DE YOGA

On se laisse séduire par une belle photo ou un prix attractif, sans vraiment regarder la matière du tapis de yoga. Et pourtant, les matériaux sont au cœur de l’expérience de pratique : ils influencent l’adhérence, la durabilité, le confort, l’odeur… et même l’impact environnemental.

Exemple n°1 : Julie achète un tapis en PVC dans une grande surface, attirée par son petit prix et sa couleur lilas. Après deux séances, elle remarque que la surface s’effrite, que l’odeur chimique persiste malgré l’aération, et que son chien tête en bas glisse à chaque inspiration. Elle comprend que le matériau bon marché ne tient ni dans le temps… ni dans la posture.

Exemple n°2 : Nicolas, soucieux de l’environnement, commande un tapis dit “écologique” repéré sur une publicité en ligne. En réalité, il s’agit d’un mélange de mousse synthétique et de liège très fin collé à chaud. Le liège se décolle dès les premières semaines, et le tapis se déforme sous la chaleur estivale. Le greenwashing lui laisse un goût amer.

Exemple n°3 : Manon choisit un tapis en microfibre suédée pour sa douceur. Elle pratique du yoga doux et adore la sensation veloutée sous les pieds. Mais lors d’un cours de Yin, elle a du mal à tenir certaines postures immobiles : le tapis manque d’adhérence quand elle ne transpire pas. C’est au contraire pendant les séances dynamiques — où elle commence à transpirer — que le grip devient optimal. Résultat : elle réserve ce tapis à ses flows plus actifs, et ajoute parfois un peu d’eau au spray pour booster l’adhérence au début.

Le bon réflexe ? Comprendre les spécificités des principaux matériaux de tapis de yoga :

– Le PVC est souvent peu coûteux, mais glissant et peu écologique.

– Le TPE est léger, sans latex, mais peut manquer de densité pour certaines pratiques.

– Le liège et le caoutchouc naturel sont durables, antidérapants, mais plus lourds.

– Le PU + caoutchouc offre un grip maximal, idéal pour les yogis exigeants.

– La microfibre est douce, esthétique, mais moins stable sans transpiration.

Chez Yogaterrae, nous avons sélectionné des matériaux performants, respectueux de l’environnement, testés en conditions réelles. Vous pratiquez en conscience, sur un tapis de yoga écologique qui respecte votre corps et la planète.

NE PAS ENTRETENIR SON TAPIS DE YOGA RÉGULIÈREMENT

C’est l’erreur qu’on fait tous au moins une fois : poser son tapis de yoga dans un coin après la séance… et l’y laisser pendant des jours, voire des semaines, sans le nettoyer. Pourtant, comme tout équipement de sport, un tapis accumule transpiration, poussière, bactéries et même des résidus de crème ou d’huile corporelle. Résultat ? Le grip peut s'altérer, des taches apparaissent, et les odeurs s’installent.

Exemple n°1 : Julie pratique du Vinyasa Yoga tous les matins. Elle adore enchaîner les salutations au soleil sur son tapis en caoutchouc naturel. Mais à force de le rouler après chaque session sans le laisser sécher, des auréoles se forment… et une légère odeur persistante s’installe. Une erreur toute simple : ne pas avoir laissé le tapis respirer à plat quelques minutes après la séance.

Exemple n°2 : Kevin alterne entre yoga et renforcement musculaire. Il utilise son tapis de yoga antidérapant pour les deux. Mais entre les baskets, les abdos en sueur et la poussière du sol, son tapis perd peu à peu sa texture d’origine. Quand il essaie de faire un chien tête en bas, ses mains glissent. Il réalise qu’un simple spray nettoyant doux aurait suffi à prolonger la vie de son tapis.

Exemple n°3 : Lila utilise un tapis en liège pour ses séances de Yin Yoga. Très absorbant, le liège peut noircir s’il n’est pas essuyé correctement. Après quelques semaines sans entretien, elle remarque des traces sombres à certains endroits. Dommage, car ce type de tapis demande peu d’entretien… à condition de le faire régulièrement.

Le bon réflexe ? Nettoyer son tapis de yoga une à deux fois par semaine, avec un chiffon doux et un spray naturel (à base d’eau, vinaigre blanc et huiles essentielles par exemple). Et toujours le laisser s’aérer à plat avant de le rouler. Certains matériaux comme le PU ou le liège ont leurs propres règles d’entretien : renseignez-vous selon le type de tapis que vous avez choisi.

Chez Yogaterrae, on vous conseille de prendre soin de son tapis afin d'en prolonger sa durabilité, mais aussi honorer sa pratique. Un tapis propre, c’est une pratique plus fluide, plus agréable… et plus sereine.

UTILISER UN TAPIS DE YOGA NON ADAPTÉ À SON STYLE DE YOGA

On l’oublie souvent, mais tous les styles de yoga n’ont pas les mêmes exigences. Un tapis de yoga adapté au Yin ne conviendra pas forcément à un cours de Power Yoga. Et inversement. Pourtant, par souci de simplicité ou d’esthétique, beaucoup utilisent le même tapis pour toutes leurs pratiques… au risque de se sentir mal à l’aise, voire de se blesser.

Exemple n°1 : Léa adore les séances de Yin Yoga. Elle aime s’enrouler dans les postures pendant plusieurs minutes, au sol. Son tapis fin et dense, pensé pour la stabilité, devient vite inconfortable. Ses hanches et ses coudes la rappellent à l’ordre : sans amorti, elle ne peut pas lâcher-prise. Elle aurait eu besoin d’un tapis épais et moelleux, idéal pour les pratiques statiques.

Exemple n°2 : Thierry, lui, pratique le Vinyasa et le Yoga Ashtanga. Il enchaîne les postures dynamiques avec beaucoup de fluidité. Il utilise un tapis en mousse épaisse… qui s’enfonce sous ses mains à chaque chien tête en bas. Résultat : il perd en équilibre, en ancrage, et fatigue plus vite. Un tapis plus fin, avec une base antidérapante et stable, aurait été bien plus adapté à sa pratique.

Exemple n°3 : Emma commence des cours de yoga prénatal. On lui a conseillé un tapis standard, mais elle glisse légèrement et ne se sent pas rassurée dans les postures d’ouverture. Ce qu’il lui faut ? Un tapis naturel, avec un bon grip, et un soutien doux pour ses articulations sensibles.

Le bon réflexe ? Adapter le choix de son tapis de yoga à sa pratique :

– Pour les yogas doux (Yin, Nidra, Restorative) : privilégiez les tapis épais et moelleux.

– Pour les yogas dynamiques (Vinyasa, Power, Ashtanga) : optez pour des tapis fins, denses et très antidérapants.

– Pour les yogas spécialisés (prénatal, enfants, yoga avec baskets) : choisissez un tapis stable, confortable et facile à nettoyer.

Chez Yogaterrae, chaque gamme de tapis est pensée pour répondre à des besoins spécifiques : douceur, fluidité, stabilité ou performance. Parce qu’un tapis bien choisi, c’est l’assurance d’une pratique sereine, libre et sécurisée.

MAL RANGER SON TAPIS DE YOGA OU LE PLIER DE LA MAUVAISE MANIÈRE

Un tapis de yoga, c’est un compagnon de pratique. Et comme tout bon compagnon, il mérite un minimum d’attention — surtout quand il ne sert pas. Pourtant, beaucoup de pratiquants le rangent en vitesse après leur séance, sans réfléchir. Résultat : le tapis se déforme, marque, s’abîme… et perd en confort comme en efficacité.

Exemple n°1 : Thomas a un tapis en caoutchouc naturel, ultra performant et éco-responsable. Après chaque séance, il le plie en quatre pour le glisser dans un tote bag. Au bout de quelques semaines, des plis blancs apparaissent et la surface commence à se craqueler. Le pliage répété a fragilisé la matière, pourtant durable si bien entretenue.

Exemple n°2 : Julie roule son tapis, mais toujours dans le même sens, côté surface vers l’extérieur. Résultat : les bords rebiquent à chaque début de séance. Elle passe 5 minutes à l’aplatir avec ses mains ou ses pieds… ce qui perturbe son ancrage et sa concentration. Une simple inversion du sens de roulage tous les deux ou trois jours aurait évité ce problème.

Exemple n°3 : Maxime laisse son tapis dans sa voiture, enroulé et coincé sur la plage arrière. L’été, entre les UV et la chaleur, la matière devient poreuse, les impressions s’estompent et le grip disparaît peu à peu. Un tapis de yoga, même robuste, reste sensible à la chaleur, à l’humidité ou à la lumière directe.

Les bons réflexes ?

– Toujours rouler son tapis, surface vers l’intérieur, sauf consigne contraire du fabricant.

– Alterner le sens de roulage pour éviter la mémoire de forme.

– Éviter les zones chaudes, humides ou exposées au soleil pour le rangement.

– Utiliser une sangle, un sac ou un filet de transport pour le protéger lors de vos déplacements.

Chez Yogaterrae, nos tapis sont conçus pour durer, mais leur longévité dépend aussi de votre soin au quotidien. Bien ranger son tapis, c’est prolonger sa vie… et garder intact le plaisir de pratiquer.

SOUS-ESTIMER L'IMPACT ÉCOLOGIQUE DU TAPIS DE YOGA

On n’y pense pas toujours, mais notre tapis de yoga peut avoir un vrai impact sur la planète. Matières synthétiques, procédés chimiques, fin de vie non recyclée… Derrière certains tapis bon marché ou trop “mode” se cachent des empreintes écologiques lourdes. Et dans une pratique tournée vers l’harmonie, l’équilibre et la conscience… c’est un peu dommage, non ?

Exemple n°1 : Léa commande un tapis en PVC flashy, repéré dans un grand magasin de sport. À peine 2 mois plus tard, le revêtement commence à s’effriter, et elle en change. Mais impossible de le recycler, et il finit à la poubelle. Ce type de matière plastique met plusieurs centaines d’années à se dégrader.

Exemple n°2 : Hugo suit une formation de yoga. Il veut un tapis léger pour l’emporter partout, alors il choisit un modèle en mousse très fine, à petit prix. Problème : il ne tient pas dans la durée, et il découvre après coup qu’il est fabriqué avec des dérivés pétrochimiques. Pas vraiment aligné avec sa démarche de consommation responsable

Exemple n°3 : Sophie, au contraire, cherche une alternative. Elle découvre les tapis en caoutchouc naturel, les mélanges à base de liège, ou encore les modèles en TPE sans latex ni colle. Elle choisit un tapis éco-conçu, durable et recyclable… et se sent tout simplement plus en phase avec son yoga.

Les bons réflexes ?

– Lire les fiches techniques : un tapis 100 % PVC ou EVA peut être peu cher, mais rarement écoresponsable.

– Privilégier des matériaux comme le caoutchouc naturel, le liège, ou le TPE recyclable.

– Vérifier l’origine des matériaux, les labels, et même les conditions de fabrication.

– Investir dans un tapis durable, qui évite le renouvellement fréquent.

Chez Yogaterrae, nous avons fait le choix de proposer uniquement des tapis de yoga respectueux de la planète : pas de compromis entre éthique, performance et design. Parce que chaque geste compte — et que la conscience écologique commence souvent… sous les pieds.

Merci TINA pour ce post

Merci d’avoir pris le temps de lire ce guide — parce qu’un bon tapis de yoga, c’est bien plus qu’un accessoire : c’est un compagnon de route, un terrain d’ancrage, et parfois… le point de départ d’un vrai changement.

  • TINA

    1994, Île de la Réunion & Île Maurice, une Vie portée par l'Océan Indien et le Yoga

    Depuis son enfance, cette voyageuse intrépide a parcouru le globe, laissant ses empreintes sur les plages du monde entier.

    Passionnée par le surf, la plongée sous-marine et la voile, elle a fait de l'Océan son terrain de jeu et sa source d'inspiration.

    La liberté des vagues, la sérénité des profondeurs marines et le vent en poupe ont rythmé son parcours, toujours guidé par une quête de connexion avec la nature.

    C’est au fil de ses explorations que le yoga est devenu plus qu’une pratique pour elle – c’est un mode de vie.

    Entre les sessions de surf matinales et les couchers de soleil méditatifs, elle a trouvé dans le yoga un équilibre parfait entre force, fluidité et conscience de soi.

    Aujourd'hui, elle conjugue sa passion pour les sports nautiques avec l’enseignement du yoga et fait partie de l'équipe Yogaterrae, ici en France, dans le Sud-Ouest et souvent à distance :)

    Cette aventurière est une véritable source d’inspiration pour quiconque aspire à vivre en harmonie avec son corps et la nature.

    À travers ses récits d’expériences incroyables, elle invite chacun à s’ouvrir à un monde où chaque vague, chaque souffle et chaque posture est une célébration de la vie.

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