LE BURN OUT... PUFF ! ... QUEL CHIQUÉ !
Saviez-vous que le burn-out peut être un signal précieux : un appel à rééquilibrer corps et esprit ?
Comme le yoga, prévenir le burn-out demande écoute intérieure, adaptation et bienveillance envers soi-même.
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LE BURN-OUT : SYMPTÔME DE NOTRE ÉPOQUE OU OPPORTUNITÉ DE RENOUVEAU ?
Découvrez dans ce post un regard approfondi sur le burn-out : ses mécanismes, ses impacts, et les pistes de reconstruction. À travers le témoignage poignant d’un proche et une analyse des ressorts de l'épuisement intérieur, explorez comment ce syndrome peut devenir une clé de transformation personnelle.
Et si, à partir d'aujourd'hui, vous repensiez votre rapport au travail et à vous-même pour éviter l'épuisement et favoriser un renouveau intérieur ?
" Let's take a look " !
LE BURN OUT...
« Ça c'est un nouveau mot à la mode. On ne sait plus quoi inventer. » « Faut quand même pas exagérer. » « Il en fait trop. » « Ce sont des personnes faibles qui vivent ça. » « Mais moi, je lui ai pas demandé de faire toutes ces heures. »
Mal vu, ce syndrome tellement nommé et si peu connu. Le Burn Out est pourtant l'une des maladies les plus répandues de notre siècle : 3 millions de personnes touchées en France.
- Qu'est-ce que le Burn Out ?
- Quels sont ses mécanismes ?
- Quels sont ses symptômes ?
- Comment le vit l'entourage ? Témoignage.
- Que faut-il faire ?
C’est l'entourage qui repère en premier les anomalies de la situation.
À travers cet article, voici quelques éléments de discernement qui peuvent permettre d’agir avant de toucher le fond. Et si c’est déjà trop tard, voici de quoi trouver comment reprendre du pouvoir d'agir.
TÉMOIGNAGES D'UN PROCHE : DE LA CHUTE À LA RECONSTRUCTION
Je n’avais jamais vraiment été concerné par le Burn Out. C'est en le découvrant avec stupéfaction, dans mon couple que j'ai pu en saisir toute la dimension. Je l'appelle "le cancer de la personnalité".
Un matin mon compagnon, entrepreneur depuis deux ans, ne veut plus se lever du lit.
Je tente de le faire rire, de l'appâter avec un super bon petit-déjeuner et je lui mets sa musique préférée, mais non, il n'a plus la force… Aïe ! Pincement au cœur. Sidérée… Urgence… Vite ! Un rendez-vous avec un sophrologue dans la journée. Il pleure et ne s'arrête pas…
C'est vrai que ça fait 6 mois qu'il a des phases où il chute mais là, il allait mieux. Je le relevais à chaque fois mais il retombait toujours plus bas, en dents de scie, jusqu'à aujourd'hui. A postériori, je vois que je lui ai donné l'énergie pour poursuivre et travailler plus dur, plus longtemps, plus fort… Encourageant alors l’intensité du processus Burn Out.
Vient le temps des disputes, la sensation d'être loin l'un de l'autre. On ne se parle plus, plus rien à se dire. Les amis nous expliquent que c'est normal, c'est le passage du temps, de l'habitude… Lorsqu'il part en voyage ou en séjour, il est tellement heureux et quand il revient, "il déprime". Sommes-nous heureux tous les deux ? Sommes-nous faits pour être ensemble ? C’était en fait des questions hors sujets.
On se dispute et il me reproche de ne pas avoir pu le sauver. Je porte cette culpabilité en moi, bien que mon mental me rappelle que je ne peux pas en être responsable car l'entourage ne peut être le thérapeute de l’autre sans risquer d'instaurer un fonctionnement malsain. Affrontement entre le cœur et l'esprit.
A la moindre frustration ou complexité, il panique. Son corps se raidit, son visage se décompose… Il devient gris. Si je devais le dessiner, je ferais un brouillard.
Impossible de lui parler, à chaque intonation on dirait qu'il sature. Rien que le flux de ses pensées le fait exploser. Tout ce qui vient élargir le champ des possibles remet trop en cause ce qu’il a besoin de définir pour sa sécurité affective, quitte à être incohérent. Il crie pour dire "stop" et se prend la tête entre les mains.
Toutes les choses de la vie quotidienne deviennent compliquées…
Les problèmes d'argent se dessinent à l'horizon et renforcent notre insécurité. Cela crée l'urgence pour lui de vite travailler, vite trouver un emploi salarié. S’il devient salarié dans cet état de Burn Out, comment va-t-il agir face à une autorité, des injonctions, des tâches complexes, la nécessité de production attendue ?
Le malaise ressenti a mis en pause tous nos projets. Il n'est plus comme avant, certains traits de lui ont disparu et d'autres se sont amplifiés.
Pour lui, la source du Burn Out n’était pas le nombre d’heure de travail car elles étaient d’environ 40h par semaine, ni même ses activités puisqu’il avait créé une activité plaisante, en lien avec ses valeurs. Ce qui l’a fait chavirer, ce sont ses représentations internes lié à l’insécurité financière, à la déception potentielle de son père et de sa compagne, si jamais il échouait.
Nous nous sommes séparés et il est devenu agriculteur dans une tout autre partie du pays. Sa transition a pris 3 ans et il semble plus heureux qu’il ne l’avait jamais été.
QU'EST-CE QUE LE BURN OUT ? L'ÉPUISEMENT DE NOS SCHÉMAS MENTAUX
C'est un syndrome d'épuisement conduit par un surmenage et des dysfonctionnements dans toutes les dimensions de la personne (corporelle, émotionnelle, mentale, environnementale, etc.). Véritable chaos intérieur, il est le résultat d’un processus de suradaptation qui vide l’individu de toutes ses ressources.
Ce syndrome est souvent défini à tort, d’épuisement professionnel. Alors que le Burn Out existe tout autant chez les entrepreneurs, les demandeurs d'emploi, les artisans, les étudiants, les mamans etc.
Cela s'explique par le fait que ce n'est pas réellement l'extérieur qui est responsable de la pression qui nous conduit au Burn Out mais notre rapport à nous-mêmes (mécanismes intérieurs, les croyances …).
Par exemple, « Si je ne réussis pas, je vais rater ma vie. » « Je ne pourrai pas nourrir ma famille. » « Je vais perdre l'amour et la reconnaissance des autres. », « Ma chérie va me quitter », « Je ne serai pas quelqu'un de bien. » « Je sais que pour réussir il faut en baver, comme mon père… ».
Le fil rouge de cette situation réside dans cette question centrale : Quel est mon rapport à l'échec ? Que coûte le fait de ne pas réussir ? Le prix de l’échec est beaucoup trop élevé, impensable, insurmontable … Ce sont des enjeux vitaux.
Entre se faire violence et vivre les conséquences (réelles ou imaginées) d’un possible échec, il est préférable de repousser ses limites jusqu'au bout. À bout. Absence de frontière.
Malheureusement, plus les limites s'effacent, plus l'identité se perd.
LES DÉRÈGLEMENTS PSYCHIQUES : LES ENGRENAGES DE LA PEUR DU SCÉNARIO CATASTROPHE
Évidemment cette crispation à réussir à tout prix s'accompagne souvent d'un haut niveau d'exigence. Incapable de lâcher prise, la personne veut déjà être en haut, sans se demander le temps ou les ressources nécessaires qu'il aurait fallu à d’autres pour y parvenir.
Démesuré, c'est une course contre le temps.
Prise par la panique, c'est le cerveau reptilien qui gouverne. Celui des réflexes, de la survie… Entièrement dépossédé, l'individu, malgré toute sa détermination, est totalement déconnecté. Il n'a plus de repères et ne sait plus : quelles sont les actions qui ont du sens, quelles sont les décisions à prendre, ce qui est bon pour soi… Il perd le discernement, la rationalité et le libre-arbitre. Il ne sait plus s'écouter, se respecter et n'entend pas les autres. Le cerveau surchauffe mais ne produit plus grand-chose malgré les efforts. Il devient difficile de se concentrer. Le corps surproduit des hormones pour tenter de faire face à la situation.
Et c'est le corps physique qui amène les premiers symptômes. Le processus de descente aux enfers est en dents de scie jusqu'au décrochage.
Pour s’en sortir, la guérison sera très progressive sur plusieurs années. Il faudra tout reconstruire.
QUELS SONT LES SYMPTÔMES ? LA CHUTE, LE DÉCROCHAGE ET LE BURN OUT
Cette affection touche des personnes sans avoir eu nécessairement des antécédents psychiques ou pathologiques.
En fonction du stade, les symptômes sont différents.
Pendant la chute, la personne s'épuise émotionnellement et psychiquement à travers des tâches compulsives accompagnées de stress répétés et d’anxiétés généralisées. Elle peut s'isoler ou plutôt s'enfermer dans sa situation. Elle force, espérant réussir en attendant un jour meilleur. Elle perd pied, perd le contrôle. Même si une partie d'elle sait qu'elle pédale dans le vide, elle pense que pour réussir, il faut faire plus, plus fort, plus longtemps…
La plupart des personnes en Burn Out sont dans le déni. Elles n'imaginent pas que ça puisse leur arriver. Reconnaitre que nous sommes en souffrance est un aveu de faiblesse qui touche beaucoup trop l'image de soi.
Lorsqu’elle touche le fond, c'est comme si la personne était découpée, décentrée. Il y a un effet de sidération. Le temps s'arrête… Vide, la personne se sent vidée et seule malgré la présence des autres. Elle a l'impression de ne pas être comprise et ne se comprend d'ailleurs pas toujours elle-même.
Lorsque la personne a craqué au point de ne plus pouvoir agir, elle perd aussi sa place dans le monde. Elle est incapable d'assurer ses rôles sociaux, trop épuisée pour réaliser son rôle de parent ou voir ses amis par exemple. Elle ressent de l'inutilité, de la honte,…
« On touche le fond, on s'observe : Qu'est ce qui m'arrive ? Pourquoi mon corps ne répond plus ? Pourquoi je ne suis plus capable de faire les petites choses du quotidien ? Qu'est-ce que je vais faire ? Qu'est-ce que je vais devenir ?
Lors du décrochage, le temps s'arrête. Les schémas mentaux tournent en boucle. Déperdition d'identité, la personne elle-même ne se reconnaît plus. Ce sont les traits même de la personnalité qui disparaissent. Par exemple, habituellement dans la joie de vivre, elle devient continuellement tendue.
COMMENT LE VIT L'ENTOURAGE ? UN SÉISME POUR TOUS LES PROCHES
Dans les codes sociaux, il faut "faire bonne figure » et éviter de montrer ses faiblesses pour ne pas être mal perçu. Ce qui demande encore plus d’effort pour tenir la pression. C'est donc souvent au moment où la personne craque, où son corps lâche, que l'entourage, surpris et sidéré, prend conscience de ce qu’il ne soupçonnait pas et qui vient de se passer sous ses yeux depuis de nombreux mois.
La personne en Burn Out est alors physiquement présente mais incapable d'assurer sa fonction. Déstabilisé, c'est tout le système qui éclate. L'entourage doit se réorganiser. Chacun des membres doit improviser, se réadapter et faire face à l'étonnement, l'impuissance, la peur, l’incompréhension, la colère, la culpabilité … L'entourage peut osciller entre rejet et compassion.
Dans sa lutte pour s’en sortir, la personne en Burn Out prends des décisions incohérentes, même si c’est pour bien faire. Par exemple, elle va choisir de déménager dans un endroit de ses rêves puis un jour plus tard, envoyer des candidatures à un poste qu’elle n’aime pas sur place. L’entourage peut alors se sentir en insécurité car chacun s’organise autour de l’information donnée qui sera entièrement remise en question quelques temps plus tard.
Chacun des proches s’interroge sur sa responsabilité. Il y a la culpabilité de : n'avoir pas vu, n'avoir pas su stopper cela à temps, n’avoir pas réussi à l’aider, avoir perdu patience… C’est un séisme.
De plus la personne agit de fait, sur les conditions matérielles de son entourage n’étant plus en capacité de produire, de gérer les finances ou de faire les courses. C’est l’instabilité. Il faut s’attendre à des sentiments, attitudes et situations complexes jusqu’à la guérison.
A l’issue du processus de rétablissement, il y a souvent de gros changements tangibles mis en place : déménagement, changement d’activité professionnelle… Elle ne sera plus jamais la même mais ce sera pour le meilleur.
QUE FAUT-IL FAIRE ? LES CONSEILS POUR LA RECONSTRUCTION
Une grande fatigue peut se résoudre avec une longue pause d'un mois par exemple, ce qui n'est pas le cas du Burn out. Il faut reconstruire toute la structure interne de la personne, réorganiser son environnement et le ressourcement sur plusieurs années. Ce sont des transformations profondes.
La bonne nouvelle dans la reconstruction post Burn Out, c'est que la personne s'apercevra de sa valeur et la construira à partir d'elle. Elle fixera ses propres indicateurs de reconnaissance sans avoir besoin des autres pour lui fournir. Autonome et apaisée, elle pourra développer toutes ses capacités. La condition est de prendre le temps de passer par toutes les étapes de reconstruction et de résoudre les sujets source. Puis dans un cercle vertueux d’augmenter : sa confiance en soi, son amour et son estime de soi, ses talents, ses valeurs…
En tant que proche, il est d’abord nécessaire de se protéger soi. Compenser l’autre est certes noble mais attention à ne pas tomber soi-même dans le Burn Out. Il ne faut pas hésiter à se réorganiser avec la famille et les amis pour déléguer ce qui es possible, se dégager du temps de qualité pour l’autre mais aussi s’offrir des temps de ressourcement individuel, loin des obligations et contrariétés. Inutile de culpabiliser, préserver son équilibre intérieur est nécessaire pour être un bon soutien.
Dans la mesure du possible, l'entourage doit alors décharger la personne de ses responsabilités et de ses contraintes. Ils doivent la dorloter, la cocooner, la mettre en sécurité, la rassurer, la calmer, dédramatiser…
N'étant pas tout à fait dans le discernement, la personne en Burn Out a besoin d'aide pour prendre les décisions vitales. Il faut lui permettre de faire les choix essentiels à l'instant T et repousser les autres le plus possible.
Il est aussi crucial de lui permettre de faire tout ce qui lui donne du plaisir (obligatoire) plusieurs fois par jour. Il faut l’autoriser (voire inciter fortement) à se reposer et à faire des choses, pas toujours productives ou importantes : commencer des cours de théâtre, apprendre à cuisiner, faire de l'art, visiter les musées…
Veut-elle organiser un séjour entre amis ? Super ! L'entourage doit vérifier que la personne n'est pas encore en train de forcer. Interdit alors de faire, elle doit juste profiter.
Il est important de l’accompagner à penser d'abord à elle même si on peut avoir l’impression que les autres ne s'en sortiront pas. Elle doit intégrer que le sujet, maintenant, c’est elle. Comme les choses sont bien faites., c'est précisément en laissant aux autres leurs problèmes qu’ils finissent par trouver de solutions étonnantes et développer un nouveau fonctionnement plus harmonieux.
Puis vient le temps, pour elle, de se penser, de repenser ses valeurs et reconstruire ses repères à son rythme. Cette prise de recul est souvent une clé du succès dans la reconstruction du Burn Out.
LES RÉSISTANCES AUX CHANGEMENTS : LA NÉCESSITÉ DE SE DONNER LES MOYENS
La guérison peut se faire sur plusieurs années, en fonction des personnes, du degré de destruction et de la qualité l’accompagnement.
Il est quasiment impossible de s'en sortir seul. Un accompagnement thérapeutique est essentiel pour guérir en sécurité, sans replonger et le plus efficacement possible.
Il doit être holistique : agir sur le corps, les émotions, le mental et l'environnement : naturopathe, sophrologue, coach, énergéticien, reiki, hypnose, yoga, méditation…
Pour guérir, certaines personnes en Burn Out ont tendance à vouloir aller trop vite. Aussitôt qu'elles se sentent mieux, elles veulent reprendre leur rythme initial. Il faut donc les ralentir pour que le processus s'établisse. Il est vital d’identifier les schémas interne qui nous ont poussé à cette situation, sous peine de rechute. Il faut ensuite en reconstruire des nouveaux plus constructifs. Le temps est incompressible.
Idem pour l’entourage, nous avons tendance à sous-estimer cette période de rétablissement. Nous imaginons que, lorsque la personne se sent mieux, elle est guérie. Or, vu tout ce qu'il faut reconstruire, le processus demande réellement du temps. Lorsque nous avons l'impression que la personne redevient "normale", il est vraiment nécessaire d’aller au bout du processus car les risques de rechute sont encore trop élevés. Plus nous acceptons ce temps, plus nous pouvons aller vite.
La plupart du temps les résistances au chemin de guérison sont le déni et aussi les préoccupations du genre :« Je n'ai pas le temps et pas l'argent ». Comme si il y avait le choix. Se soigner demande un investissement inévitable. Il est préférable d’investir immédiatement en soi pour revenir sereinement dans la vie active plutôt que de laisser traîner, pendant plusieurs années, la souffrance, l'incapacité cyclique à faire face à la vie, à pouvoir travailler et donc à obtenir le temps et l’argent.
ET SI C'ÉTAIT UNE CHANCE ! LE BURN OUT EST LE POINT DE DÉPART D'UNE NOUVELLE VIE
« Ma vie n'est peut-être pas foutue. » La guérison est une opportunité comme en témoignent les nombreuses personnes rétablies du Burn out.
Reconnaître la présence de ce syndrome, c’est avant tout accepter notre humanité et notre besoin de limites.
Nous nous ouvrons alors à un chemin de reconstruction, où chacun peut se réinventer avec authenticité et force. Parce qu’au-delà de la souffrance, le burn-out peut devenir une opportunité de renouer avec soi-même, d’établir une vie en harmonie avec ses valeurs et de bâtir un avenir qui nous ressemble même si ça fait peur.
Alors peut-être que finalement ça se célèbre ?
Merci infiniment pour cet article, Chloé !
Une fois encore, tes mots éclairent des sujets sensibles et essentiels, comme le burn-out, en nous offrant des perspectives nouvelles pour mieux comprendre et agir.
Bio de Chloé
-
Chloé LESAGE
Coach en leadership et facilitatrice de projets
« Guerrière de cœur, c’est souvent ce que je reçois comme conclusion lorsque j’explique mon parcours de vie. Après un début pas évident sur cette terre, j’ai cherché l’équilibre intérieure et l’expansion à travers un parcours de développement personnel de 15 ans où j’ai testé toutes les pratiques conventionnelles et atypiques.Comme on n’arrête jamais d’apprendre, je nourri continuellement ma soif de comprendre. Haut potentiel intellectuel et émotionnel, j’ai appris à mettre mes capacités au service de la vie pour que ça devienne un cadeau.
Ma méthode est à la jonction entre qui je suis, la réappropriation de ma formation de 2 ans en coaching en développement personnel ainsi que toutes mes expériences de vie.
C’est une pratique qui met en expérience et qui intervient, tout en même temps, sur le corps, les émotions et la dimension spirituelle. Pour moi, il est hors de question d’accompagner pendant des années ce qui provoquerait, à mon sens, de la dépendance. Or mon travail est de créer les conditions de réappropriation de son pouvoir intérieur pour obtenir des résultats immédiats de matérialisation de ses objectifs. »
Plus d’informations sur son parcours professionnel
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