OEUVRE MOSAÏQUE STUDIO MOTION OPTIC CHEETAH

• Chaque micro-tesselle compose cette œuvre majeure. Le détail devient force, l’infime dessine l’intensité, comme une méditation sur le contraste.

• Dimensions de l'oeuvre :
Plus grande hauteur : 56 cm
Plus grande longueur : 190 cm
Épaisseur : 1,2 cm
Poids total : environ 10 kg
Nombre total de tesselles : plusieurs milliers toutes assemblées, une par une, à la main, à l'atelier, au millimètre près

• Dimensions de chacune des tesselles : 10 mm x 10 mm
Épaisseur : 3 mm
Poids de chacune des tesselles : moins de 2 g

• Matériaux utilisés : pâte de verre artisanale et minéraux naturels
Finition : toutes les tesselles qui forment le contour du guépard ont été découpées à la main une par une et polies à la meule mais restent brutes malgré tout

• Matériau du support : plexiglas (ou PMMA – polyméthacrylate de méthyle) transparent de maintien à la fois rigide et légèrement flexible

• Propriétés : hydrofuge, surface lisse et facile d'entretien

Chaque tesselle mesure à peine un centimètre, et pourtant, c’est tout un monde qui s’anime sous l’œil. Posées une à une, ces particules de verre jouent comme des pixels, fragmentant la lumière, créant des vibrations, des éclats, des reflets. À cette échelle microscopique, l'œuvre se donne comme une partition minutieuse, où chaque note est posée avec intention.

Mais dès que l’on recule de quelques pas, tout change. Le regard cesse de compter les points pour laisser émerger la forme, le flux, la tension du mouvement. La silhouette du guépard s’élance alors comme une flamme dans l’espace, dessinée par la vitesse, traversée de puissance. Le cerveau, flatté par l’illusion optique, y lit une énergie fluide, un élan qui dépasse le cadre de l’art pour toucher à l’instinct.

C’est dans cette bascule, entre précision millimétrée et présence fulgurante, que réside la magie d’OPTIC CHEETAH. Une œuvre qui rend hommage à la vitesse intérieure, à cette pulsation vitale que l’on sent monter, dans la pratique du yoga comme dans l’élan de la création. L’infime y devient majeur, et chaque détail participe d’un tout vibrant, libre, immédiat.